Le riz, le lait, la farine, l’huile, le sucre. Tous ces produits indispensables au quotidien des malgaches sont prédestinés à ne plus appartenir aux habitudes consommatrices de la population.
Le Trumpisme est loin d’être mort puisque 71 millions d’électeurs sont toujours convaincus du bien-fondé de sa politique. Le Trumpisme va assurément bousculer l’ordre mondial, l’ordre établi ce que les américains appellent l’establishment.
L’après Trump n’aurait pas encore commencé, si on écoute ses fervents militants. Les élections américaines ne seraient pas encore jouées puisqu’un temps de contestation, autrement dit les recours juridiques, le mettrait toujours dans la course.
Au sein de la diaspora malagasy, première terre et cristallisation des critiques, pullulent les oppositions contre la politique des autorités locales.
Les élections américaines ont tenu en haleine le monde entier avec un dénouement digne d’un blockbuster Hollywoodien. Joe Biden devient ainsi le 46ème Président américain
Longtemps, la démocratie a fait l’objet de critiques acerbes, justifiées ou non, mais jamais, au demeurant, l’autre corolaire, la laïcité a déclenché une remise en question.
En diplomatie, il ne fait pas bon de dire tout ce que l’on pense de l’autre. Même si une forme de communication débridée existe naguère.
Le recours à l’aide internationale est une constante à Madagascar. Si les ajustements structurels, œuvre du FMI avaient été fortement décriés dans les années 90, presque 30 ans après, nous en sommes toujours réduits à dépendre de cette aide.
Économie : gouverner, c’est prévoir. Mais qu’en est-il pour un pays comme Madagascar fragilisé par une crise sanitaire ?
La décentralisation effective est à nouveau au centre du débat public, à Madagascar. Les élections sénatoriales et l’avènement de la 23ème région dans le sud sont autant de sujets qui avaient déjà été amorcés très tôt en début de quinquennat, et qui refont surface aujourd’hui.