Madagascar a été classée 5ème destination touristique incontournable pour 2023 (Forbes). C’est une belle reconnaissance quant à la beauté naturelle et l’authenticité de la Grande île, encore loin du tourisme de masse. Un positionnement favorable pour relancer tout le secteur du tourisme Malagasy, après le coup d’arrêt et la souffrance socio-économique imposés par la pandémie […]
La Grande Ile a des grandes ambitions en matière de développement économique et social.
À un an des élections, les difficultés de Madagascar apparaissent tellement grandes pour les dirigeants actuels qu’il en devient presque difficile de jeter la pierre, ou pointer du doigt quelconque responsable.
En occident l’indice des prix s’est déjà élevé à 7,5%. L’effet domino dans le monde sera incontournable et inévitable.
Pourquoi Madagascar continue de communiquer sur ces aides financières ? Le pays sera-t-il toujours placé sous la tutelle des mêmes institutions que décriait un certain Didier Ratsiraka dans les années 80-90 ?
Jirogasy, ce nom ne vous dit rien, de prime abord. Pourtant il s’agit manifestement d’un exemple de plus des potentialités en ressources humaines que regorge Madagascar.
La pauvreté dans le monde ne cesse d’accroître depuis plusieurs décennies, et cela sans même que l’on évoque des conflits ou de catastrophes naturelles dues au changement climatique.
Le riz, le lait, la farine, l’huile, le sucre. Tous ces produits indispensables au quotidien des malgaches sont prédestinés à ne plus appartenir aux habitudes consommatrices de la population.
Le recours à l’aide internationale est une constante à Madagascar. Si les ajustements structurels, œuvre du FMI avaient été fortement décriés dans les années 90, presque 30 ans après, nous en sommes toujours réduits à dépendre de cette aide.
Économie : gouverner, c’est prévoir. Mais qu’en est-il pour un pays comme Madagascar fragilisé par une crise sanitaire ?