Pour assurer l’émergence du pays, Madagascar a besoin d’entrepreneurs. Pour en avoir, il faut les former comme font les pépiniéristes mais on cultiverait plutôt dès la plus tendre enfance des idées transformatrices, des idées « inspirantes ».
Coronavirus : la France a tenté de retarder au plus loin, les mesures de confinement afin de ne pas bloquer une économie face à la plus grave crise sanitaire qu’ait connu la France.
Madagascar est un pays en transition, il est à un tournant de son histoire où les champs des possibles sont nombreux et évidents.
En politique, les hommes ont beau avoir des discours mémorables et s’approprier les nouveaux moyens de communication, seuls les actes resteront.
Pauvreté: 72% des malgaches ce qui représente 18 millions de la population vivent avec moins de 2 dollars par jour.
Coronavirus : le manque criant de prévisions et d’anticipations sont souvent à l’origine des critiques adressées aux Présidents Africains.
Formation scolaire : l’éducation tient une place importante dans une famille Malgache, si toute la fratrie d’une famille ne peut poursuivre des études supérieures, par faute de moyens, il est souvent mis sur les épaules de la fille et du fils ainé(e)
L’opposition est entrain de murir même si elle en est encore qu’à ses balbutiements, et le partage d’une analyse à ce stade du quinquennat apparait encore précoce, mais nous sommes davantage solidifiés pour parler d’une démocratie effective à Madagascar.
Le Mardi 3 Mars, dans la commune de France, la plus « malgachisée », à savoir Cachan, a eu lieu une soirée organisée par le FIVMPAMA Paris, le groupement du patronat malagasy qui promeut les investissements à Madagascar.
Îles Eparses: Macron dit les choses simplement, en allant à l’essentiel : Il s’agit pour lui de passer de la négociation à la prédation, de la confiance mutuelle à l’obsession séparatrice, du progrès à un retour en arrière.